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Panique dans l’oreillette > Valérie Mairesse et Henri Leconte

Tony Cotte
Publié le 31/03/2010 à 23:10 Mis à jour le 06/04/2010 à 19:39

Frédéric Lopez sur France 2

Pour ce nouveau rendez-vous de Panique dans l’oreillette, le magazine de France 2 peut compter sur deux invités que l’on attendait pas, ou peu. Ce soir, Frédéric Lopez reçoit ainsi Valérie Mairesse et Henri Leconte.

Dès les premières minutes de l’émission, les téléspectateurs apprennent que celle-ci est en fait une « véritable séductrice ». Passionnée en amour, mais aussi très fleur bleue, elle préfère aujourd’hui être seule et libre. Petit retour en enfance oblige où l’on découvre une fille dont le rêve le plus fou et de ressembler à... Marilyn Monroe ! Valérie Mairesse découvre sa vocation de comédienne grâce à l’un de ses professeurs, « Soeur Claudine » qui a été la seule à la prendre au sérieux. Cette dernière en profite pour faire une apparition sur le plateau. Émotions !

Considéré comme « l’un des plus grands champions de tennis français », Henri Leconte se passionne pour ce sport dès son plus jeune âge. Il se réveille tennis, mange tennis, vit tennis...Il est bercé par cette activité par sa mère entraîneuse. Ses efforts payent, il devient 5e joueur mondial et joue la finale en 1982 de la Coupe Davis et remporte en 1984 le double à Roland Garros avec Yannick Noah.

Charmeuse née, Valérie Mairesse ne veut pas dire son âge et pourtant elle a de vraies attitudes de « Mamie » : elle boit de la chicorée le matin dans son bol fétiche qu’elle emmène partout même en tournage, ne se couche jamais après 22 heures et s’est abonnée à une chaîne du câble pour pouvoir regarder ses séries préférées Arabesque et Miss Marple ! Démonstration d’un repas au lit... en plateau !

Henri, pour sa part, confie être également passionné de voitures. Il en a eu 400 : un vrai collectionneur. Et il a transmis ce virus à son petit garçon Ulysse qui à l’âge de 2 ans connaissait toutes les marques de voitures. Henri a par contre un défaut qui énerve tous ses proches : Il s’endort partout ! Dans le train, en voiture, en avion... Absolument partout. Sur un vol long-courrier, il peut s’endormir au décollage et se réveiller à l’arrivée.