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Philippe Vasseur parle du retour de José dans Les Mystères de l’amour

Publié le 21/02/2011 à 16:41 Mis à jour le 01/03/2011 à 19:20

À l’occasion du grand retour de Nicolas, Hélène, Laly & co dans la suite de la saga d’AB Production/JLA, Les Mystères de l’amour, le Don Juan invétéré qu’est José reprend également du service. Un retour aux sources pour celui qui l’incarne, Philippe Vasseur. Une reprise d’activité que le comédien a justifiée dans les colonnes de Closer...

Aussi, à la question « Pourquoi avoir accepté d’incarner à nouveau le personnage de José ? », l’acteur est sans concession : « Parce que j’avais faim ! » affirme-t-il. Et l’intéressé de continuer : « Et aussi parce que je suis conscient que José est le seul rôle de ma vie. Et puis j’avais envie de m’amuser avec mes petits camarades ! ».

Par ailleurs, et si tel n’était pas le cas auparavant, Philippe Vasseur fait état du droit de regard dont disposent désormais les comédiens : « Jean-Luc nous laisse davantage carte blanche, on peut modifier les dialogues, improviser... C’est un grand bonheur, même si, souvent, Jean-Luc n’en fait qu’à sa tête ! » Côté évolution du personnage, Philippe Vasseur affirme ainsi mettre son grain de sel : « J’essaie de travailler dans ce sens et de le faire évoluer, mais Jean-Luc est très têtu. José reste une victime, un mec un peu couillon. Un gros con aussi, on peut dire ! » analyse-t-il, sans manquer de rajouter : « Mais, je vous le promets, je ne suis pas comme ça dans la vraie vie ! (Rires) »

Et il semblerait que derrière les caméras, le comédien soit moins crédule et simplet que son personnage. Dans un entretien accordé à Allociné, celui-ci se montre même un brin virulent quant il s’agit d’évoquer les critiques de la presse : « A l’époque d’ « Hélène et les garçons » je m’en foutais car je n’avais pas l’intention de devenir acteur, c’était un accident. Après j’y ai pris goût et j’ai continué à me taire parce qu’il y a des choses qu’on ne peut pas forcément dire si on veut continuer dans ce métier. Maintenant je n’en ai strictement plus rien à foutre, donc le premier qui m’allume, je l’allume direct. Parce que c’est des cons, d’énormes connards, vraiment !  » (sic).