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Télématin : Julia Vignali remplacée, Thomas Sotto face à la polémique sur France 2

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Rédacteur - Expert TV
Publié le 02/11/2022 à 10:18 Mis à jour le 02/11/2022 à 10:58

Thomas Sotto a été de nouveau accompagné par Maud Descamps pour emmener Télématin le mercredi 2 novembre 2022 sur France 2. Il y a orchestré une interview d’Edouard Philippe aux 4 Vérités.

En cette période de vacances scolaires, les stars du petit écran prennent leurs distances avec l’antenne. C’est le cas de Julia Vignali. L’animatrice a délaissé Télématin à compter de son édition du mercredi 26 octobre 2022.

Quelle audience pour Télématin sur France 2 ?

Au lendemain d’avoir été remplacé par Jean-Baptiste Marteau, Thomas Sotto a repris du service dans Télématin le mardi 1er novembre. Il y a été accompagné par Maud Descamps, chargée par France 2 de pallier l’absence de Julia Vignali. Le duo a officié à l’antenne de la chaîne publique entre 6h30 et le début d’offres religieuses à 9h25.

En ce jour férié de la Toussaint, Télématin a pu compter sur la présence de 693.000 téléspectateurs. Sa part de marché s’est fixée à 24.3% auprès de l’ensemble du public. Le duo Maud Descamps / Thomas Sotto peut se targuer d’avoir offert un joli succès d’audience à France 2, qui a aisément distancé ses concurrentes directes.

Ce mercredi 2 novembre, Julia Vignali a une nouvelle fois brillé par son absence dans Télématin. Maud Descamps s’est chargée de continuer à la remplacer aux côtés de Thomas Sotto. Ce dernier a orchestré une interview d’Edouard Philippe aux 4 Vérités. Il n’a pas hésité à le confronter à la polémique suscitée par les propos d’Agnès Buzyn autour de sa gestion de la crise du Covid-19.

La réaction d’Edouard Philippe à la polémique Agnès Buzyn

« Agnès Buzyn a pris très au sérieux cette crise et elle a raison quand elle dit qu’elle a probablement vu avant beaucoup de gens ce qui était susceptible de se passer. Lorsque moi j’étais Premier ministre et qu’elle était ministre, à chaque fois qu’elle évoquait un sujet ou une décision à prendre, je l’ai mis en œuvre », a réagi Edouard Philippe, tout en assurant qu’il n’avait pas négligé ses avertissements.

« Mon objectif n’est pas de montrer que nous avons tout bien fait. Aucun pays n’a tout bien fait. Aucun responsable politique ne peut dire : Regardez, j’ai tout bien fait. Ce n’est pas du tout ça que je dis. Ce que je dis, c’est que ni pour Agnès Buzyn, ni pour Olivier Véran, ni pour moi, ni pour aucun des collaborateurs qui ont travaillé avec nous, il y a eu d’infractions de caractère pénal », s’est défendu Edouard Philippe.